Où on arrive en 2011
Par louline, jeudi 6 janvier 2011 à 23:52 :: En France :: #236 :: rss
Doucement mais surement, la voilà, la nouvelle année.
Ce n'est pas pour t'embêter petit lecteur, parce que finalement, dans le fond, je t'aime bien. Mais je vais être obligée de le faire. C'est le moment de te souhaiter la bonne année.
Ça part plutôt d'un bon sentiment, mais tous les ans, c'est la même chose. Le 31 à minuit on se tombe dans les bras les uns les autres, on se fait des bisous et des hugs, on se souhaite une bonne année et on est heureux. Pour plusieurs raisons.
Déjà parce qu'on est content, demain c'est férié.
Ensuite, et c'est la raison principale, on quitte l'année précédente. En douze mois, on arrive à accumuler suffisamment de choses qu'on voudrait bien oublier, à commencer par les résolutions du début de la dite-année. Ces résolutions là, petit lecteur, tu le sais aussi bien que mois, tu les prends à minuit douze le 1e janvier, alors que tu as mangé ton poids en fois gras, et que tu as bu assez d'alcool pour dire avec aplomb des choses qu'en vrai, tu n'oserais même pas penser. Le 31 décembre, tu te rappelles ce moment et tu es ravi d'oublier le bilan catastrophique de ces résolutions complètement fantaisistes. Donc la nouvelle année c'est bonheur.
Le bonheur dure jusqu'aux jours suivants. Le lendemain pour être précis. Quand, la gueule de bois du réveil nous rappelle qu'en fait, l'année qui vient sera la même que l'année passée, et qu'on se rappelle que dans le feu de l'action, sur les coups de minuit, on a refait tout un tas de résolutions intenables. La plaie. Sur ce constat d'échec, commence la mélopée de bonne année qui va durer jusqu'à la fin du mois. Au mieux.
Bref voilà. Désolée.
Sache quand même petit lecteur que pendant la période de félicité qu'est la période des fêtes de fin d'années, tu es tenté de faire n'importe quoi, dans l'euphorie générale. Ça m'a pris, j'avoue. Pendant les vacances, une folle envie a germé en moi. Celle de faire la bûche de Noël pour le repas du 24 au soir. Trop facile les gars, une génoise, une ganache, tu tartines, tu roules, l'affaire est dans le sac. Sauf que non. Pour toi ami lecteur, l'objectif SMART, où la leçon d'humilité. Pour les curieux interessés par l'objectif SMART, de la saine lecture vous attend ici.
Je vous quitte avec, ô joie, bonheur et allégresse, un extrait du nouvel album de Juliette qui sort la semaine prochaine. Il s'appellera "No Parano", et je ne touche plus le sol.
Juliette - Un Petit Velo Rouillé by juliettenoparano
Le meilleur pour 2011 à toi, lecteur, et à ceux qui habitent dans ta clémentine cardiaque.
Ce n'est pas pour t'embêter petit lecteur, parce que finalement, dans le fond, je t'aime bien. Mais je vais être obligée de le faire. C'est le moment de te souhaiter la bonne année.
Ça part plutôt d'un bon sentiment, mais tous les ans, c'est la même chose. Le 31 à minuit on se tombe dans les bras les uns les autres, on se fait des bisous et des hugs, on se souhaite une bonne année et on est heureux. Pour plusieurs raisons.
Déjà parce qu'on est content, demain c'est férié.
Ensuite, et c'est la raison principale, on quitte l'année précédente. En douze mois, on arrive à accumuler suffisamment de choses qu'on voudrait bien oublier, à commencer par les résolutions du début de la dite-année. Ces résolutions là, petit lecteur, tu le sais aussi bien que mois, tu les prends à minuit douze le 1e janvier, alors que tu as mangé ton poids en fois gras, et que tu as bu assez d'alcool pour dire avec aplomb des choses qu'en vrai, tu n'oserais même pas penser. Le 31 décembre, tu te rappelles ce moment et tu es ravi d'oublier le bilan catastrophique de ces résolutions complètement fantaisistes. Donc la nouvelle année c'est bonheur.
Le bonheur dure jusqu'aux jours suivants. Le lendemain pour être précis. Quand, la gueule de bois du réveil nous rappelle qu'en fait, l'année qui vient sera la même que l'année passée, et qu'on se rappelle que dans le feu de l'action, sur les coups de minuit, on a refait tout un tas de résolutions intenables. La plaie. Sur ce constat d'échec, commence la mélopée de bonne année qui va durer jusqu'à la fin du mois. Au mieux.
Bref voilà. Désolée.
Sache quand même petit lecteur que pendant la période de félicité qu'est la période des fêtes de fin d'années, tu es tenté de faire n'importe quoi, dans l'euphorie générale. Ça m'a pris, j'avoue. Pendant les vacances, une folle envie a germé en moi. Celle de faire la bûche de Noël pour le repas du 24 au soir. Trop facile les gars, une génoise, une ganache, tu tartines, tu roules, l'affaire est dans le sac. Sauf que non. Pour toi ami lecteur, l'objectif SMART, où la leçon d'humilité. Pour les curieux interessés par l'objectif SMART, de la saine lecture vous attend ici.
Je vous quitte avec, ô joie, bonheur et allégresse, un extrait du nouvel album de Juliette qui sort la semaine prochaine. Il s'appellera "No Parano", et je ne touche plus le sol.
Juliette - Un Petit Velo Rouillé by juliettenoparano
Le meilleur pour 2011 à toi, lecteur, et à ceux qui habitent dans ta clémentine cardiaque.
Commentaires
1. Le vendredi 7 janvier 2011 à 00:34, par hibiscus
Ajouter un commentaire