Aujourd'hui, petit lecteur, je m'adresse à toi. J'ai un truc à t'avouer. Ce n'est pas facile parce que ca risque de modifier l'image idyllique et parfaite que tu te faisais de moi, mais tant pis. Il est temps. Bon, ça ne va pas forcement changer le cours de ta vie, d'autant que quand tu échoues ici c'est souvent par hasard. Donc on n'est pas forcement très proches. Je le sais, parce que comme tu n'as pas le courage de me laisser une image dans le photomaton (sur ta droite), je t'espionne grâce à un outil de statistique très puissant. Je sais donc que c'est en cherchant des images de madames toutes nues ou en talons aiguilles, que tu arrives ici.

D'ailleurs la diversité des mots-clés menant à mon blog me laisse souvent sans voix d'étonnement sur l'originalité de certaines recherches. Souvent l'étonnement fait place à la curiosité ("ciel, y a des gens qui cherchent vraiment ça") voir au dégout. Sans en dire trop, quand on fait une recherche Gougueule avec le mot "croûte" dedans, c'est rarement très ragoutant. D'autant que, pour vous, pauvres internautes inquiets à cause de vos croûtes de main, ici, on ne va pas pouvoir vraiment vous aider. A part perdre votre temps, vous ne trouverez que des réponses à des questions que vous ne vous posez surement pas.

Revenons à nos moutons

Je disais donc que toi, lecteur crouteux, pervers ou vieil habitué de la maison, ce soir, tu vas apprendre quelque chose sur l'auteure de ce blog. Un secret. Une passion honteuse. Une petite joie inavouable. Pour vous, mesdames et messieurs : les boutons.

Et toi, ami lecteur , c'est quoi ta passion cachée dégueu?

Je vous laisse avec une petite chanson de circonstance, de Thomas Fersen et Bumcello:

le bouton

A++ les loulous