Rechute de non-postage. Mais cette fois-ci j'ai plein d'excuses, dont une qui est en béton armé.

Toi, lecteur fidèle, mon semblable, mon frère, qui me suit depuis le début, sait que depuis quelques mois j'ai quitté le nid douillet de la vie étudiante pour la jungle de l'entreprise. Ce que tu ne sais pas en revanche, sauf si tu prends des nouvelles de moi par d'autres canaux que ce blog moribond, ce que tu ne sais pas, donc, c'est que le temps passant, ma période de stage est arrivée à son terme. Mes études avec.

Ne sors pas ton mouchoir en pensant à la précarité du monde du travail, rapport à une quelconque crise, voire pire, la récession qui en découlerait. Non, non, foin de recherches longues et stressantes, j'ai eu la chance d'être adoptée par l'entreprise où j'ai stagé. Le mois de mars a donc été le théâtre d'un événement important, en BD, pour vous Mesdames et Messieurs : le niveau II ou l'arrivée dans le monde professionnel.

Pour fêter cela, je vous laisse avec la chanson du dimanche qui a définitivement conquis mon cœur lors du concert à la laiterie. Pour vous donner une idée, les deux loulous sur scènes, déchainés qui font faire faire la chenille à une salle de concert pleine. Sans parler même de la standing ovation, ni de la danse de l'été. Du pur bonheur. Un des meilleurs concerts vu récemment (et par extension, un des meilleurs cadeaux d'anniversaire reçu).
Comme j'écris ce post un dimanche soir, vous allez le lire pour la plupart lundi matin en arrivant au travail (démasqués !), une chanson en rapport donc: comme un lundi.


A bientôt !